Action/guerre
Reflexion/arcade
Plateforme| Destroy To Survive (Demo) [Auteur: Robotic] | ||
 Destroy to Survive ! Lorsque les aliens envahissent la terre et mettent à feu et à sang les villes humaines, seul un petit homme, aidé des Elums, pourra sauver ce qu’il reste de la dignité humaine. C’est ainsi que sur une cinématique grandiose, le jeu commence. Ce jeu s’avère être une des plus importantes créations qu’il m’ait été donné de voir, une seule personne, aidée toutefois, est derrière cet achèvement gigantesque. Et on parle de version de démonstration ! Jamais je n’ai joué à une démo aussi longue, environ 15h de jeu, mais attention, pas d’heures de jeux ennuyantes, non, d’heures réellement divertissantes. D’autant que le jeu propose un large panel d’environnements et de gameplay. Mais aussi une histoire, et une mise en scène détaillée, extrêmement riche. En réalité hors mis quelques points, tels l’optimisation et la prise en main, on se retrouve véritablement devant un jeu de qualité professionnelle. On peut s’accorder à dire cela car le projet a été rondement mené et développé jusqu’au bout. Toutefois, on sent qu’un petit manque de tests approfondis au niveau du mode Un Joueur existe. Destroy To Survive offre au joueur une pléthore de modes différents, de gameplays et de styles, on sent dans le jeu une évolution complète de l’auteur et du titre lui même. En effet le jeu débute déjà très fort sur une cinématique interactive qui décrit le background de l’histoire. On comprend tout de suite, que l’on incarne un petit gars vêtu de bleu qui comme Megaman, peut lancer des lasers avec ses bras. Au fur et à mesure de l’avancement dans le jeu, on accède à de nouvelles tenues, mais au fond de notre âme on reste un petit gars bleu, je vous assure, ça marque ces choses là. DTS c’est un jeu qui évolue, en effet il peut être très intéressant d’en étudier le processus, car cela montre clairement que la pratique de l’auteur a augmentée avec la qualité de sa création. On peut d’ailleurs souligner quelque chose de remarquable, c’est que Robotic a su rester sur ce même projet un temps très important, sans baisser les bras pour donner au final, un des meilleurs jeux auquel j’ai jamais joué. Le GamePlay de Destroy To Survive est un GamePlay très difficile à définir, car il évolue intégralement, on passe par des grosses phases d’arcades, pour aboutir à un style de jeu proche de la réflexion et du jeu de quête. Bien entendu le jeu se tourne plutôt vers un public fan d’arcade, même si beaucoup trouveront du plaisir dans l’aspect quête et réflexion du jeu. Il est donc indispensable de réaliser des performances d’agilité et de rapidité afin de parvenir à la fin du niveau.  Mais où est Charlie ? Une si grande diversité nous laisse supposer que l’auteur a intégré toutes les idées de jeux qu’il avait en un seul, même si pour cela il a été contraint de formater ces modes de jeu à l’histoire de Destroy To Survive. C’est d’ailleurs là un point très intéressant : le jeu est parfaitement scénarisé, une action toujours rythmée avec parfois des moments de battement et de repos, l’intervention de cinématiques, d’éléments interactifs du décor, et de dialogues. Le tout faisant progresser l’histoire et donnant régulièrement lieu à des nouveautés et améliorations, voir même à un changement complet d’environnement graphique. L’histoire a été écrite directement pour le jeu, même si j’imagine qu’elle a parfois dû être adaptée.  Absolument toutes les idées de jeux ont été intégrées, et là c’est la faute d’un robot(ic76) du jeu qui fait des Merge Gm6. Jouez vous comprendrez! Et vous rirez!  Pour revenir au GamePlay, ou devrais-je dire aux GamePlays, qui tous ensemble forment un genre nouveau et peu usuel, il reste un point qui pêche c’est la prise en main qui est vraiment difficile. Prise en main qui elle a été totalement améliorée et perfectionnée dans le mode multi-joueurs en ligne, où on ne retrouve plus les mêmes problèmes, si bien qu’on aimerait pouvoir jouer avec le personnage du multi-joueurs dans le mode solo. En réalité le principal problème de la prise en main réside en deux points clés, qui doivent absolument être améliorés dans la version finale du jeu, car à ce moment là on aura réellement un jeu professionnel. Le premier de ces deux points est le fait de ne pouvoir tirer que dans 8 direction en mode un joueur, alors qu’on peut le faire dans toutes les directions en multi-joueurs. Vous me direz, « oui mais ça c’est un choix de GamePlay », je ne saurai trop bien vous répondre que c’est un mauvais choix, car les ennemis peuvent se déplacer en toutes directions, il est donc difficile de leurs tirer dessus, si l’on ne trouve pas le temps de calculer l’angle de tir, et de se placer en fonction de la direction dans laquelle partira notre tir.  On a même Split (un ami) qui nous aide pour évoluer dans certains niveaux !! Un autre point gênant dans cette prise en main, est le fait de ne pouvoir rebondir vraiment sur le sol, cela mène souvent à des échecs dans les derniers niveaux, car il est nécessaire pour pouvoir sauter à nouveau d’attendre que le personnage remettent les deux pieds à terre, or cela prend bien trop de temps pour pouvoir être réactif contre les attaques ennemies. Ainsi dans Destroy To Survive, il est possible de retrouver tous les GamePlays, et tous les styles de level design, on passera de Megaman, à Tomb Raider, en passant par Metroid Prime et Metal Slug, voir même Oddworld. Entre quêtes et agilité, il n’est plus nécessaire de choisir, vous pouvez jouer aux deux en même temps ! Le Level Design est un point très soigné dans DTS, tout est réalisé en finesse et en détail. Vous ne resterez jamais bloqué quelque part, et ne serez contraint de recommencer à cause d’une erreur de level design. Aussi vous pourrez retrouver toutes sortes d’éléments de gameplay dans le décor, tels que des torches qui tournent, des portes qui ne s’ouvrent qu’en présence de certains objets, des caisses qui explosent et rebondissent, régient par un moteur physique Home Made. On a également droit à des styles de Level Design radicalement différents entre les différentes phases principales du jeu, on passe d’une ville en flamme, aux égouts humides, suivi de l’espace jusqu’à un monde de jungle, pour finir dans une sorte de manoir hanté ! Il y a une grande faculté à s’adapter qui émane de l’auteur, il le montre en réalisant des niveaux recherchés et concordants au style graphique de ces derniers. Nous y reviendront tout à l’heure lorsque j’aborderai la programmation fine du titre. Mais un des points très intéressant, est justement le passage entre les écrans dans le niveau de la jungle, il est possible de sortir des quatre coins de la vue pour toujours arriver sur une autre vue, et ce avec une transition parfaitement adaptée. J’adore cet effet ! Autrement, Les graphismes de Destroy To Survive, sont véritablement réussis, arborant tous le même genre, propre aux anciens jeux d’arcade, mais avec une touche en plus qui leur donne un aspect scintillant et frais. (La fraîcheur voici que de DTS nous apporte !) Les animations, bien que relativement simples, sont fort fluides et les ennemis sont même articulés pour la plupart, un canon qui se déplie, des bras qui se lèvent etc.   Argh Saleté de boss articulé !! Pourquoi moi-même ne le suis-je pas ?! [vantard](articulé, boss je le suis déjà lol)[/vantard] En fait lorsqu’on joue à DTS on est carrément immergé dans un monde, et c’est principalement la qualité et l’homogénéité graphique qui y concoure. Chaque grande phase du jeu est marqué par un autre environnement, lorsque j’entends environnement j’entends absolument tout, même les ennemis changent, afin de toujours mieux nous entraîner dans le jeu. Les EFFETS ! Voici ce qui donne à ce jeu plus de dimensions qu’on ne peut en soupçonner, ces effets ont étés soignés à un point que je ne pensai même pas possible, ils sont un réel émerveillement pour les yeux, un exploit entre gestion physique et fluidité graphique. Que ce soit les tirs lasers des buggys ou vaisseaux, les caisses enflammées, les explosions, les points de sauvegardes, les torches enflammées, les cercles de projection lorsque le personnage saute et que sais je encore, ces effets sont d’une pureté et d’une qualité qui laisse sans voix, qui va même jusqu’à transcender le joueur, à lui donner envie de tirer en tous sens uniquement pour apprécier ! Pour rester du côté des graphismes, on peut également souligner l’inventivité, les machines ennemis ou encore les ennemis organiques (singes et autres), excitants et magnifiques. Ainsi la diversité et la finesse prend part à cette sensation, que l’on retrouve principalement dans les environnements et avec les boss du jeu : ils sont véritablement bien fichus.  Je sais pas pourquoi mais j’ai l’impression d’avoir déjà vu ce type quelque part. La bande son est un des infimes points qui pêchent dans DTS, les musiques sont bien choisies et véritablement entraînantes, là dessus il n’y a rien à redire, mis à part que la musique disparaît dans les premiers niveaux et qu’elle ne revient que vers la fin du jeu, dans le manoir. Il faut ainsi compter 13 heures de jeu sans musique, dieu merci, ou plutôt Robotic merci, il reste les sons d’actions, qui eux sont d’une qualité irréprochable et vraiment bien adaptés au gameplay. Ce qu’il faut reprocher au jeu c’est la qualité des sons d’ambiance, car il y a quelquefois des grésillements, comme s’ils avaient été enregistrés dans un format bien trop lourd pour pouvoir être joués correctement. Et pire encore, un son d’ambiance qu’il faut absolument, immédiatement changer, celui de la jungle. Une sorte de vent qui se répète à l’infini, et qui rend sincèrement fou. Regardez-moi maintenant ! Ah pardon je l’étais déjà auparavant, à moins que ce ne soit au paravent… Ce son est celui que je déteste le plus, de toute ma vie de testeur, jamais je n’ai eu droit à un tel son, ayant recommencé une quarantaine de fois le niveau, je puis vous assurer que ce son vous rend véritablement cinglé. C’est véritablement le point le plus ennuyeux, d’autant que c’est le niveau le plus dur du jeu, il est donc intéressant d’avoir une ambiance agréable. Heureusement le niveau lui-même est génial !  Je crois que parfois il ne vaut mieux pas s’avancer. Techniquement parlant le jeu est une prouesse, même au niveau de l’optimisation ! S’il faut un bon processeur, un Pentium 4 Hyperthreadé, ou alors un processeur multicoeur, le jeu est très peu gourmand pour la qualité qu’il propose. La physique est bien gérée mais pas révolutionnaire et n’est pas dès le début un moteur physique prévu pour toutes les situations, toutefois étant donné qu’il évolue tout au long du jeu, on se retrouve devant une véritable gestion de la physique, particules, déplacements, gravités, explosions des caisses, même les effets sont affectés par la physique. On a aussi cette grande interaction avec le décor, qui fait que beaucoup d’éléments peuvent être détruits dans un fracas exceptionnel de particules ! Cela va du lustre à la boîte postale! On peut juste trouver une erreur quant à la physique des caisses dans les premiers niveaux, en effet ces dernière, lorsqu’on leur tire dessus depuis la droite ou depuis la gauche, vont toujours à gauche ! Je pense que c’est soit un oubli, car ce n’est plus le cas par la suite, soit une véritable progression des capacités de l’auteur à travers le développement de son propre projet.  Détruire une caisse en bois c’est vraiment la classe. L’Intelligence Artificielle au même titre que la physique n’est pas une innovation technologique, et je dirai même qu’elle a dû mal, que ce soit les Chimpanzés Bonobo lanceurs de bananes, les robots de 25 m de haut, les elums qui vous aident, les robots boites postales, les aliens en capsules volantes ou en buggy etc. ils ne se démarquent pas vraiment par leur IA qui sent exclusivement le distance_to_object à plein nez… Même si l’IA elle aussi à tendance à s’améliorer à partir du premier boss, on sent qu’elle est surtout scriptée, et quelle a dû mal à s’adapter à des situations imprévues. Après l’aspect arcade du soft, peut expliquer que le choix d’une Intelligence Artificielle basique ait été fait, l’idée dans un jeu d’arcade n’est pas de devoir combattre un ennemi pendant deux heures, mais plutôt d’en détruire 120 en 2 minutes. Ce qui est très intéressant, c’est que Robotic n’est pas avare en programmation, en effet il n’hésite pas à ajouter dans l’environnement de jeu une tonne d’éléments de GamePlay. Il a bien compris que tout est dans l’interactivité maximale, car après tout si l’on va vers les jeux c’est principalement pour l’interactivité, sinon on serait resté au Cinéma. Entre le pont suspendu de la jungle, les torches tournante, les roues dentés qui tombent, les boîtes postales farouches, les transitions entre cinématique et mode ingame, il y a interactivité totale, qui pourrait presque donner naissance à du GamePlay Emergent.  Comme vous pouvez le voir les boîtes postales se font respecter, c’est dingue jusqu’où vont les grèves de La Poste. Autrement on peut retrouver quelques bogues mais qui ne sont pas véritablement gênants. Le plus embêtant est peut être lors du changement de vues, lorsqu’on tire dans la direction de la vue suivante et qu’on y passe ensuite, une fois parvenue à cette nouvelle vue, les lasers qu’on avait tirés, vont partir en envoi groupés, car ils auront attendus qu’on arrive à cette nouvelle vue pour partir.  On pourrait minimiser le défaut en disant que c’est parce que l’auteur voulait donner une idéologie communautaire à ses lasers, mais je ne suis pas certain qu’on nous croirait.  Cela n’enlève heureusement pas le caractère époustouflant à ce système de vues. Un autre problème, cette fois-ci dû aux animations, est qu’il faille s’arrêter de marcher pour tirer, on peut tirer en sautant mais pas en marchant… C’est un sacrifice un peu ennuyant surtout lorsqu’on est en face d’un boss de 12 m de haut qui n’est constitué que de deux gros pieds métalliques qui n’ont de cesse de piétiner à gauche et à droite. Et vous qui devez tranquillement lui tirer dessus en restant sur place. Ou alors pour moins de précision en faisant des sauts de fous partout. Il est assez drôle aussi de voir lorsqu’on passe au niveau suivant le personnage qui tombe du point du haut gauche de la room. On ne le voit que si on fait vraiment attention, mais robotic, aurait pu éviter cela… Surprenant. Le dernier bogue s’avère être une erreur de sauvegarde dû au level design (généralement réussi dans le jeu). En effet avant le boss de la jungle on passe une vue très difficile, où il faut ne pas se faire voir par deux gardes, j’y ai passé bien trois heures avant de réussir. Et après ces deux gardes, alors qu’on est toujours à portée, mais protégé par un mur il y a un point de sauvegarde. Si l’on sauvegarde à cet instant, on peut dire au revoir à notre avancement dans le jeu.A moins de faire une copie du fichier de sauvegarde précédent. Car lorsque vous chargerez le jeu, le perso sautera automatiquement en l’air et cela suffira juste pour dépasser le mur qui vous protège, et ainsi vous faire tuer par le garde, c’est systématique. Il vous est donc nécessaire de recommencer tout le jeu afin de parvenir à nouveau à cet endroit ci.  Lorsqu’on tue un boss voici ce qui nous arrive, j’ai le style non ! Harder Better Faster Stronger ! Bizarre les premiers boss ne nous donne pas cette chance. Force est de constater que le jeu est parfaitement scénarisé, et cela avec une mise en scène du tonnerre, rien que pour cet élément (et un type de monstre du premier niveau) on pourrait parler de référence à un Half Life ². Si bien que transitions entre modes de jeux et cinématiques interactives sont très fréquentes. Cela permet de s’immerger dans la partie et de vivre la plus intense des expériences de jeu. Un autre point vraiment intéressant est le déblocage du contenu du mode multi en mode un joueur, d’ailleurs il est même nécessaire de débloquer le mode multijoueur via le mode un joueur, mais ne vous inquiétez pas ça vient vite. Je reviendrai plus après sur le mode multijoueur, qui est carrément un jeu à part. Afin de réaliser certains passages du jeu il peut être utile de changer de combinaison, car une permet de lancer du feu, une autre du laser, et encore une de lancer de … (Je ne vous le dis pas, ça gâcherai le plaisir), ainsi vous pouvez améliorer vos performances, votre vitesse etc. selon la phase de gameplay en cours. C’est utile de changer également sa manière de jouer selon la combinaison. Pensez-y vous risqueriez d’être bloqué. Le nombre incalculable de référence à votre culture est quelque chose de superbe dans ce jeu de plateforme/arcade, car cela fait sourire, surtout que l’humour est régulièrement au rendez vous, et détend un peu l’atmosphère sérieuse du jeu. Si vous trouvez où est la référence à Peyo et que vous m’en envoyez une screenshot je mettrai sur le site une nouvelle l’indiquant.  Des effets graphiques à couper le souffle ! Il faut voir ça en action ! Dans votre culture vous pourrez également chercher du côté vidéo ludique, j’ai référencé pas moins de 7 jeux dont Destroy To Survive est emprunt. Surtout le passage où il faut se cacher dans l’ombre qui fait penser à Oddworld.  Je vous rassure tout de suite, cette capture n’est pas représentative du niveau de l’humour présent dans le jeu. :happy: Et comme si le solo ne nous avait déjà pas suffisamment secoué pendant quatorze heures grandioses, un mode multi-joueurs vient s’ajouter. Testé à trois personnes sur un réseau local, ce dernier nous a laissé une impression terrible ! Il est évident qu’il n’est pas la colonne vertébrale du jeu et que c’est une « « petite » » récompense en plus, mais avec quelques ajouts comme un tchat et un éditeur de cartes, ainsi que des fonctions de kick et de bannissement, il pourrait devenir un des multi-joueurs 2d les plus délirants de la toile.  Un simple mode deathmatch avec une maniabilité réussie, et de nombreuses armes que l’on ramasse au hasard, permet de s’éclater entre plusieurs joueurs. On y retrouve l’attention au détail, que des effets magnifiques comme le reflet dans l’eau, ainsi que l’humour. Les armes du mode multi-joueurs sont différentes et le maniement à la souris fournit beaucoup de soulagement, car on peut enfin tirer dans toutes les directions. Canon à gravité, fusil sniper, mitrailleuse, grenades, trou noirs etc. un nombre gigantesque d’outillage est à découvrir, et à utiliser sur vos confrères. Vivement que ce jeu soit dans les Cybercafés de France ! Ainsi c'est un jeu qui ne se finit jamais, car le mode multi-joueurs permet vraiment de retrouver le plaisir du mode solo à tout moment avec vos amis. Afin de conclure on peut s’accorder à dire que Destroy To Survive composé de graphismes magnifiques, d’animations fluides, d’un soin au détail, d’une bande son variée, d’environnements riches et nombreux, d’une IA un peu larguée, d’une mise en scène et d’une histoire bien rythmée et bien intégrée, d’effets graphiques et de prouesses techniques enivrantes, excitantes et intenses, est le meilleur jeu de la Compétition N°6.   Je trouve ça merveilleux, se faire tuer par un chimpanzé lanceur de banane, juste avant le point de sauvegarde. Si je devais résumer ce test en une question, je l’exprimerai ainsi : « Et si je vous disais que ce jeu est un hit ? ». Come on ! Play The Game ! + Mise en Scène et Cinématiques réussie + Environnements variés et interactifs + Graphismes magnifiques + Durée de jeu intense de plus de quatorze heures + Prouesses techniques épatantes + GamePlay diversifié, mélange entre plusieurs genres + Mode Multi-joueurs en ligne! + Humour au rendez vous. ~ Intelligence Artificielle un peu larguée ~ Contrôles du mode solo peu pratique et difficile à prendre en main - Certains passages ont une difficulté trop importante - Bande son d’ambiance trop répétitive. - Truc qui rend fou : la fenêtre change sans cesse de taille entre les niveaux. Graphismes: 9,75/10 GamePlay: 9,2/10 Bande son: 6,5/10 Technique: 7/10 Note: 8,6/10 (Cette note n'est pas la moyenne mathématique de celles ci-dessus) Télécharger (9,2mo) |
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| par jeugame @ 29/01/2008 03:02 am |
bof tt façon je peux faire mieux moi  lol  |
| par Master47 @ 29/01/2008 05:58 am |
| Bravo Robotic, tu est arrivé à tes fins. J'adore ce jeu  |
| par daminetreg @ 29/01/2008 08:22 am |
| jfecool2, je pense que tu dois avoir un PC qui n'est pas suffisamment puissant pour le jeu car il faut au minimum un processeur double coeur ou avec un coeur virtuel. |
| par Thibault de Staracadégeek @ 29/01/2008 10:33 am |
| Ouaiis Robotic je suis ton plus grand fan |
| par Topaze22 @ 29/01/2008 02:14 pm |
| Il semble refuser Vista alors je descend en bas le faire (PC fixe XP) |
| par Fun Fox @ 29/01/2008 03:14 pm |
| Félicitations Robotic... Tu succèdes à Super HB ! |
| par Topaze22 @ 29/01/2008 03:29 pm |
| J'ai réussis. J'espère que je ne vais pas mourrir avant d'arriver à la sauvegarde  |
| par Topaze22 @ 29/01/2008 04:08 pm |
| J'ai finis la démo!!! La difficulté est sacrément grosse à certains moment, soyez prévenus. Démo formidable |
| par Jango_Fett @ 29/01/2008 04:18 pm |
| Bravo, tu mérite amplement cette première place :) |
| par mad_doc @ 29/01/2008 05:10 pm |
| Je rappelle que pour les jeux ne fonctionnant pas sous vista, il y a un convertisseur sur le cbna section logiciel. Il permet de créer un .exe compatible Vista... |
| par Topaze22 @ 29/01/2008 05:44 pm |
| Il semble refuser Vista alors je descend en bas le faire (PC fixe XP) |
| par nicoulas @ 29/01/2008 08:31 pm |
| Ah par contre le niveau de difficulté est élevé, mais bon au moins c'est pas comme mon jeu qui est beaucoup trop facile lol |
| par yiff @ 30/01/2008 12:13 am |
non seuelemtn c'est un jeu de qualité de ouf mais il a été fait en un temps record  |
| par daminetreg @ 30/01/2008 08:13 am | |
F4. :D Tout est possible, moi j'ai joué en plein écran la plupart du temps, juste pour prendre les screens je repassai en mode fenêtré, la qualité est meilleure en fenêtré.  |
| par Topaze22 @ 30/01/2008 07:44 pm |
| Oui, pour ceux qui aime le mode plein écran, pensée à la touche F4 que l'on laisse souvent active |
| par TyfeuuX @ 30/01/2008 09:20 pm |
| ROBOTIC =D Tu es le meilleur !!! |
| par Topaze22 @ 31/01/2008 08:11 pm |
Ho! Je croyais que dans ton coeur Rem, c'était moi   |
| par Death Egg @ 01/02/2008 03:19 pm |
| Magnifique! J'ai reussi à finir la démo, et j'ai hâte que le jeu soit fini! |
| par jango_fett @ 09/02/2008 04:16 pm |
| impossible de passer le deuxième niveau oO j' ai toujours pas compris comment tuer les robots sans ce faire atomiser (beuheuheu) |
| par xaevaer @ 22/03/2008 04:56 pm |
| eh béh sa c du test |
| par daminetreg @ 25/09/2008 11:34 am |
| Ben bien sûr que c'était possible, j'étais arrivé au bout ^^ Bravo, tu fais partie de ceux qui l'ont fini, il est génial n'est-ce pas? |
| par rederror @ 08/10/2008 11:15 pm |
| C'est le fait que vous l'ayez terminé et que c'est un jeu prenant qui m'a amené au bout. Vraiment complet, un peu bourrin, mais superbe à jouer, en effet. |
| par Narpdc @ 25/10/2008 01:40 am |
| T'as de la chance rederror sa marche pas chez moi |
| par miniAzu @ 24/11/2008 07:53 pm |
| Bah pour pas que la fenêtre bouge a chaque niveaux, faut la mettre en plein écran ... (sur F4) |
| par miniAzu @ 24/11/2008 08:00 pm |
| Bah pour pas que la fenêtre bouge a chaque niveaux, faut la mettre en plein écran ... (sur F4) |
| par leo @ 28/01/2009 08:32 pm |
dite c'est quoi la musique du premier niveau  |
| par fredy385 @ 29/06/2009 04:11 am |
| On dirait que le bomhomme est Mega man . |
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